O napot, ça y est, l’aventure Trina est de retour !

Le réveil à 3h du matin pour un rendez-vous à 4h sur le parking du Sémaphore a été difficile. Une fois le car arrivé, nous avons roulé pendant 7 heures.

Vers 11h, après avoir été bloqués dans les bouchons des tunnels parisiens, nous sommes enfin arrivés à l’aéroport de Roissy et avons pique-niqué. Ensuite, passage par les contrôles de sécurité : certains étaient très stressés ! Nous avons embarqué, et c’était parti pour deux heures d’excitation dans l’avion.

À notre arrivée à Budapest, soulagés d’avoir retrouvé la terre ferme, nous avons pris un minibus pour une heure de trajet. Fatigués mais heureux, nous sommes enfin arrivés à Pilisvörösvàr.

Première journée difficile, première lecture des morceaux.
Le programme de cette année s’annonce plutôt exigeant, mais l’orchestre semble prêt à relever le défi. Certains professeurs étaient déjà présents l’année dernière, d’autres sont nouveaux dans l’aventure, ce qui apporte un regard différent et enrichissant à cette expérience à la fois humaine et musicale.

Malgré la fatigue du voyage, la première soirée a été particulièrement animée. Nous étions tous ravis de nous retrouver pour ce dernier épisode de Trina.
Les Hongrois organisent la fête d’aujourd’hui, que nous attendons tous avec impatience — en espérant passer un excellent moment !

Jour 3

Bien remis de nos émotions après une soirée hongroise très réussie, nous avons repris le travail avec nos professeurs pour approfondir les partitions que nous avions déchiffrées la veille.
Nous avons profité du soleil pour répéter en plein air, puis nous nous sommes reposés à l’ombre du saule pleureur !

Nous avons hâte de découvrir ce que les Allemands nous ont préparé pour ce soir, et nous pensons déjà avec enthousiasme à la soirée française de demain !
Szia !

Jour 4

Aujourd’hui était le troisième jour de répétition, qui a commencé par un petit-déjeuner… aux saucisses !

Nous avons travaillé par pupitres, puis les bois et les cuivres séparément, avant de réunir l’orchestre en entier. Le son de l’ensemble commence à prendre forme et nous prenons de plus en plus de plaisir à jouer ensemble. De plus, l’installation de deux piscines gonflables sur le stade a renforcé les liens entre nous, et l’ambiance « Trina » devient de plus en plus folle !

Après le déjeuner, l’orchestre Trina a profité d’une soirée brillamment organisée autour de jeux d’équipe en plein air avec les Français.
Nous avons terminé la journée par une dégustation de fromages, de charcuterie et de vin français, et nous espérons que demain sera encore meilleur !

Jour 5

Une nouvelle journée touche à sa fin. Nous avons presque terminé le programme, mais il reste encore du chemin à parcourir pour améliorer l’interprétation des différentes pièces.

Après une journée de travail intense, il est temps de se reposer, car demain, nous passerons la journée au lac Balaton, avec tous les musiciens et le soleil au rendez-vous.
La soirée d’hier, préparée par les Français, a été tout aussi appréciée que celles des Allemands et des Hongrois.

Nous attendons maintenant avec impatience la surprise que nos hôtes nous ont préparée pour ce soir, accompagnée d’un groupe local. La soirée s’annonce joyeuse et détendue, malgré le stress du concert final qui approche à grands pas.

Jour 6

Une nouvelle journée s’achève. Nous avons presque terminé le programme, mais il reste encore du travail pour affiner le rendu des différentes pièces.

Après une journée de travail intense, place au repos, car demain nous passerons la journée au lac Balaton, avec tous les musiciens et sous le soleil.
La soirée d’hier, organisée par les Français, a été aussi appréciée que celles des Allemands et des Hongrois.

Ce soir, nous attendons avec impatience la surprise préparée par nos hôtes, accompagnée d’un groupe local. La soirée s’annonce joyeuse et détendue, malgré le stress montant à l’approche du concert final.

Jour Du Concert

Après une semaine intensive de répétitions, nous avons atteint le point culminant de notre séjour en Hongrie : le concert final.

Nous avons répété toute la journée dans une nouvelle salle dont l’acoustique nous a tout de suite séduits. À 16h, nous avons arrêté les répétitions pour profiter d’un moment de repos dans nos familles d’accueil pour le week-end.

(Comme à notre arrivée à Budapest, soulagés de retrouver la terre ferme, nous avions alors pris la route en minibus pendant une heure pour arriver, fatigués mais heureux, à Pilisvörösvàr.)

Le concert approche… Nous essayons les nouveaux polos Trina III, qui nous plaisent beaucoup — nous sommes prêts pour la bataille finale. Les Hongrois, ainsi que les délégations allemande et française, sont venus en nombre.

À 19h, le son des timbales ouvrant “Open Air” donne le ton, c’est le début de deux belles heures de musique. Le public, réceptif et chaleureux, nous motive encore davantage.

À 22h, c’est la fin. Nous quittons la scène épuisés, mais heureux d’avoir pu participer à un concert qui restera sans aucun doute dans les mémoires de chacun pendant de nombreuses années.

Vive TRINA !!!

Jour 7, 8 et 9

Dernier jour du Trina, en toute détente, avec une visite de la capitale hongroise : Budapest.

À leur arrivée, les Trinadiens ont eu la surprise de voir un bateau-mouche prêt à appareiller sur le beau Danube bleu de Johann Strauss, un peu gris ce jour-là. Il n’a pas fallu longtemps pour que la beauté de ses berges fasse effet, sous les objectifs attentifs des trois nationalités représentées. De retour sur la terre ferme, nous avons pu flâner dans les rues de la capitale, sans oublier la petite pause glace, indispensable sous les 38 °C.

Après quelques emplettes et la découverte de magnifiques bâtiments, nous avons pris d’assaut le célèbre palais des rois de Hongrie, le château de Buda. Du haut de ses remparts, une vue à couper le souffle s’offrait à nous, accompagnée de musique traditionnelle — certes un peu touristique, mais toujours plaisante.

Le dernier jour signifie aussi la dernière soirée avant le grand départ. Discours émouvants, distribution de cadeaux et bracelets confectionnés pendant le Trina ont rythmé ce moment. Pour donner une seconde voix à cet orchestre, un lâcher de ballons est venu conclure cet épisode hongrois. Sur un air de « Chati-Chato », revisité par Pierre et Josselin sous hélium, nous regardons, au loin, l’Orchestre Trina s’élancer vers de nouvelles aventures.